Éditorial


Ce blog n’a d’autre prétention que de faire partager mes coups de coeur cinématographiques passés, présents et à venir. Le cinéma américain a la part belle dans ces chroniques. Ce cinéma sait à nul autre pareil (de mon point de vue partial mais assumé), saisir les évolutions, les contradictions, les failles et les forces qui caractérisent les États-Unis. Il est depuis les origines, ce formidable vecteur de tous les soubresauts, de toutes les convulsions d’une société en constant renouvellement. La sédimentation y est à l’œuvre, en ce sens que le cinéma américain est toujours riche de multiples interprétations, de points de vue différenciés et de mises en contexte superposées. C’est enfin un cinéma précurseur qui a su inventer des codes, (western, film noir, comédie musicale …), illustrer des thèmes (le rêve américain, le self-made man, le road-movie ….), inventer des techniques (le montage alterné chez D.W.Griffith, mais je n’oublie pas Sergueï Eisenstein ….), générer des acteurs(trices) hors-normes (Marlon Brando, Al Pacino, Montgomery Clift, Burt Lancaster, Bette Davis, Ava Gardner, Lana Turner ……) ou des réalisateurs géniaux (John Ford, Howard Hawks, Francis Ford Coppola, Michael Cimino …….). Le cinéma mondial ne se confond pas avec celui des États-Unis (quoique …..) mais il en est assurément la pierre angulaire.

Merci à Marie-Rose pour le nom du blog, à Thierry Agostini pour le logo antérieur, à Emmanuel Brasseur pour la création du blog et à Marine Agostini pour le logo actuel.

2 commentaires:

  1. voici le lien du The Guardian qui traite de la série d'espionnage soviétique qui aurait pus inspirer Poutine, je l'ai regardé au complet sur youtube , il y a treize épisodes https://www.theguardian.com/tv-and-radio/2018/sep/11/russias-answer-to-james-bond-did-he-trigger-putins-rise-to-power-seventeen-moments-spring salut François

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    1. Merci François. Je n'avais pas vu tout de suite ton message. Je vais regarder cela. Bien à toi et à bientôt sur la toile.

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